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Comment savoir si on a réussi son entretien d'embauche

19/12/13







 

Interview Keljob: Evaluation de son entretien d'embauche

vendredi 01 juillet 2011

Comment savoir si on a réussi son entretien d'embauche ?

Pas facile de s’auto-évaluer à l’issue d’un entretien d’embauche. Réactions du recruteur, temps de parole, moment de la séparation… Découvrez les 5 critères qui vous aideront à revoir le film de la rencontre et à faire un debrief objectif.

 

 

 

1. Avez-vous dit tout ce que vous vouliez dire ?

 

Avant de passer un entretien, vous devez avoir préparé un argumentaire. « Idéalement, le candidat doit faire passer un message en mettant en avant quatre ou cinq points clés », souligne Marc Guichet.

 

Selon le directeur du cabinet Émergences RH, les premières questions à se poser à l’issue de l’entretien sont donc : est-ce que je me suis tenu à mon plan d’intervention et ai-je réussi à avancer mes arguments ? « Si vous êtes frustré, ce n’est pas bon signe, sans que cela soit pour autant rédhibitoire», tempère le recruteur.

 

Jean-Samuel Delacour estime pour sa part qu’il faut aussi évaluer la pertinence de son propos. Le consultant de Servir, cabinet de recrutement du groupe Minerve, considère que « le candidat doit se demander s’il a réussi à cadrer avec les attentes de son interlocuteur. Autrement dit, est-il parvenu à argumenter sa carrière en fonction du poste à pourvoir ? »

 

 

2. La durée de l’entretien ?

 

À moins de ne passer que 10 petites minutes en compagnie du recruteur, la durée d’un entretien n’est pas un facteur clé de succès. « Ce n’est qu’un indiceaffirme Thierry Verdier, directeur du cabinet 1001 Talents. Bien entendu, il vaut mieux que ça dure trop longtemps plutôt que pas assez. Mais tout dépend du contenu », précise-t-il, ajoutant que trente minutes d’échanges constructifs sont plus fécondes que deux heures de palabres sans intérêt.

 

Pour Jean-Samuel Delacour, le temps est également une donnée à manier avec précaution. « Ce qui compte, c’est de déterminer si le temps de parole était partagé », souligne le recruteur. Si le responsable RH a trop parlé, « il attendait peut-être qu’on l’interrompe et qu’on lui pose des questions ». A contrario, un candidat trop loquace peut « donner l’impression de manquer de concision ».

 

3. Comment s’est comporté mon interlocuteur ?

 

Durant l’entretien, il faut être attentif aux réactions de son interlocuteur. « Il n’y a certes pas de vérité absolue mais il y a des signes qui ne trompent pas », explique Thierry Verdier. Des yeux levés au ciel, un désintérêt manifeste, des objections successives, une pointe d’agacement dans la voix sont des attitudes équivoques. Mais que penser d’un recruteur qui consulte régulièrement sa montre ? « On peut supposer qu’il est impatient ou qu’il a peut-être un timing très serré », note Marc Guichet.

 

Idem pour les questions qu’il peut poser. « S’il n’en pose aucune, c’est inquiétant, car cela veut dire qu’il n’a pas cherché à creuser », avertit Thierry Verdier. À l’inverse, s’il creuse avec excès, « ce n’est pas non plus bon signe. Cela peut signifier qu’il a des doutes ». À moins que ce ne soit une tactique pour tester le candidat et voir comment il s’adapte. « Tout est une question de feeling », résume Jean-Samuel Delacour qui rappelle qu’il y a « une part d’indicible dans le recrutement. »

 

 

4. Le recruteur vous a-t-il vendu l’entreprise ?

 

L’entretien d’embauche est un jeu de séduction à double sens. « Il faut tenir compte des informations qu’a livrées le recruteur, indique Marc Guichet. S’il est intéressé par votre parcours ou votre discours, il va essayer de vendre l’entreprise en vous parlant de sa culture, de son management ». Il peut aussi aborder plus en détail le contenu du poste, les missions à accomplir voire même le déroulement du processus d’intégration et les perspectives d’évolution.

 

 

5. Comment s’est conclu l’entretien ?

 

Même si vous avez tapé dans l’œil de votre interlocuteur, ne vous attendez pas à une réponse immédiate. « On prend toujours le temps de réfléchir », assure Jean-Samuel Delacour.

 

En revanche, la conclusion d’un entretien est révélatrice. « Si le recruteur demande des pièces supplémentaires, comme des références ou des copies de vos diplômes, c’est qu’il veut aller plus loin et investir sur le futur », signale Thierry Verdier.

 

Dans le même ordre d’idées, une date précise pour une reprise de contact ou un prochain rendez-vous constitue un signe positif. « C’est la preuve qu’on poursuit le processus », présume Marc Guichet, qui conseille aux candidats de ne pas hésiter à solliciter le recruteur en lui demandant quelle sera la suite des événements.

Enfin, si ce dernier prend le temps de vous raccompagner jusqu’à l’ascenseur, « c’est qu’il a du mal à vous laisser partir et qu’il a sans doute hâte de vous revoir », confie le dirigeant d’Émergences RH.

 

Geoffrey Dirat © Keljob – Juillet 2011

Interview Journal du Net: Formation longue?

 

 

Thierry Verdier (1001 talents) : "Une formation longue n'est intéressante que s'il s'agit d'une formation complémentaire"

1001Talents est un cabinet de recrutement pour les métiers High Tech et les services en BtoB. Thierry Verdier, fondateur et dirigeant du cabinet, analyse les tendances de recrutement des sociétés informatiques.   (06/10/2006)

 

 

 

 

 

JDN Solutions. Formation longue ou expérience terrain : quelle alternative choisir ?

 

Thierry Verdier. Choisir de suivre une formation longue se fait en fonction des personnes et du moment. En période de ralentissement économique, il est intéressant de faire une formation allongée ne serait-ce que pour attendre le temps de la reprise.

 

Inversement, lorsque le marché est développé et que l'activité est en croissance, c'est justement le moment de valoriser sa carrière professionnelle en se lançant sur le terrain.

 

Une formation longue n'est intéressante que s'il s'agit d'une formation complémentaire. Il est positif pour un ingénieur de compléter sa formation avec du marketing ou du commercial.

 

 

Quelle est la tendance générale du marché ?

Aujourd'hui, les entreprises sont assez indifférentes à la formation. Ce qui compte, c'est l'expérience réussie des candidats. Idéalement, les entreprises recherchent bien sur ceux qui sont diplômés et qui ont une expérience terrain. Mais entre un candidat qui a uniquement un diplôme et un autre proposant une expérience valorisante, ce sera dans la plupart des cas ce dernier qui sera sélectionné. 

 

Les jeunes titulaires d'un bac + 2 complètent généralement leur formation, ce qui est positif. Même s'il est tout a fait possible de bien évoluer avec un bac + 2, il est préférable de compléter la formation vers plus de profondeur.

 

"la formation n'est pas la formule miracle"

En revanche, la formation n'est pas la formule miracle. A la place d'une année de formation, il est tout à fait possible d'aller à l'étranger ou encore d'intégrer un groupe international qui, en plus de l'expérience, fournira peut-être en plus une formation. 

 

Cette tendance peut-elle facilement évoluer ?

Pour un beau poste informatique, le client exige une formation initiale informatique poussée. Il est déjà arrivé que des candidats de très bon niveau soient refusés sur le seul fait que la formation initiale de ces derniers ne soit pas en informatique.

 

 

 

 

 

Cette attitude est nouvelle et ne s'applique bien généralement qu'aux postes techniques. Pour les postes commerciaux, le diplôme ne rentre pas en ligne de mire. La condition reste la personnalité des postulants. Dans un second temps, le diplôme peut départager les candidats..

 

Les entreprises tendent à vouloir des niveaux plus élevés, ce critère étant constaté sur les cinq premières années de carrière.

 

 Emmeline RATIER, JDN Solutions

1001Talents "Utilisateur professionnel référence de Filemaker

lundi 16 janvier 2012



1001 Talents

1001 Talents est un cabinet de recrutement virtuel spécialisé dans les métiers High-Tech et dans les services BtoB. Constitué de consultants experts en recrutement, 1001 Talents a pour ambition de trouver les talents que leurs clients recherchent avec les compétences, l'expérience, la motivation et la culture dont ils ont besoin.

Fondé en 2004 par Thierry Verdier, le cabinet a la particularité d'être dématérialisé.

Chaque consultant métier de la société est donc totalement indépendant et contracte avec les appelants. 
1001 Talents compte environ 500 000 candidats, plus de 1 100 recrutements menés à termes et près de 7 000 entreprises prospects.

En quelques mots

  • 1001 Talents est un cabinet de recrutement virtuel spécialisé dans les métiers High-Tech et dans les services BtoB.

Secteur

  • PME

Solutions

  • D'abord utilisée comme une simple base de données, la solution mise en place par 1001 Talents est aujourd'hui un véritable outil de gestion intégré, qui permet désormais de gérer les missions de recrutement dans leur intégralité.

Avantages

  • Rapidité
  • Evolutivité
  • Performant

Problématique

Lorsque M. Verdier a créé son cabinet de recrutement, il était à la recherche d'une solution de gestion qui ne soit pas un outil 'prêt à l'emploi'. Il souhaitait une base de données qui lui permette de gérer son cabinet virtuel de façon efficace en tenant compte de la particularité de son activité.

« Lorsque j'ai découvert FileMaker, je l'ai téléchargé et l'ai trouvé tellement incroyable que j'ai passé la nuit dessus. Le lendemain matin, j'avais décidé que ce serait ma plateforme de travail, mon système de gestion ! », raconte M. Verdier, Directeur Général de 1001 Talents.

 

Solution mise en place

Thierry Verdier a tout d'abord travaillé sur la structure de la solution avec l'aide d'un développeur FileMaker. Puis, l'approche intuitive de FileMaker Pro lui a très rapidement permis de continuer seul le développement de sa base.

« Au départ, j'ai développé une base de données candidats afin de répertorier les coordonnées, les informations du curriculum vitae (études, parcours professionnels etc.), la lettre de motivation ainsi que les détails de l'évaluation du candidat faite par le consultant de 1001 Talents. Puis, de façon quasi similaire, j'ai mis en place le CRM clients/prospects, c'est-à-dire l'ensemble des contacts 'entreprises' qui recrutent », commente M. Verdier.

D'abord utilisée comme une simple base de données, la solution est aujourd'hui un véritable outil de gestion intégré pour le cabinet de recrutement, comprenant de nombreuses fonctions telles que : automatisation des tâches, extraction automatique et interprétation des informations, mise en page automatisée, analyse sémantique des CV, portail Internet clients, etc.

« FileMaker permet de faire tellement de choses que j'ai pu naturellement enrichir la solution de nouvelles fonctions, apportant aujourd'hui au cabinet un système très complet », souligne M. Verdier.

La base de données FileMaker permet désormais de gérer les missions de recrutement dans leur intégralité.

La partie CRM 'Clients' a été conçue pour permettre aux consultants de 1001 Talents d'établir directement les contrats pour les clients, de prospecter, de faire des statistiques, de facturer et de gérer les paiements de façon rapide et autonome. « à partir du CRM 'clients', les consultants et moi–même pouvons communiquer automatiquement à nos clients les dossiers des candidats avec les évaluations des consultants et les lettres de motivation », souligne M. Verdier.

FileMaker leur sert en plus d'outil d'extraction et d'interprétation de l'information : « À partir des données de notre base FileMaker, les consultants et moi–même sommes capables d'extraire automatiquement des informations clés telles que : un code postal, un téléphone portable, une adresse email, un niveau d'étude, un type d'école, etc... », commente M. Verdier.

Afin de faciliter les tâches de suivi et de reporting, Thierry Verdier a développé une fonction de mise en page automatisée permettant de créer des rapports d'interview au format PDF ou de générer automatiquement une lettre type en fonction de certaines informations présentes ou non dans un CV ou dans une fiche client. « Pour cet outil de mise en page, j'ai notamment développé un script qui calcule le nombre de lettre par ligne et le nombre de ligne par page, ce qui permet d'obtenir instantanément un document propre et bien présenté », explique-t-il.

M. Verdier a également mis en place des outils d'analyses sémantiques des CV qui permettent à l'équipe de 1001 Talents d'extraire toutes les informations importantes avec un minimum d'erreurs et de les saisir automatiquement dans les champs correspondants.

« Enfin, grâce à la Publication Web Instantanée, j'ai intégré des questionnaires en ligne pour évaluer les candidats », ajoute M. Verdier. Désormais, chaque appel de mission de recrutement débouche sur la création d'un questionnaire d'évaluation avec tests de personnalité que le candidat rempli en ligne via un accès sécurisé. La centaine de questions est ensuite automatiquement dépouillée, puis les résultats sont intégrés à la base de données FileMaker afin d'être accessibles aux clients.

« Nous avons créé un véritable portail Web pour nos clients. Ainsi, chacun d'eux peut se connecter avec son login et son mot de passe et accéder à un tableau de bord interactif sur lequel il peut visualiser les CV et les lettres de motivation des candidats, consulter les évaluations et intervenir dans les fiches candidats en y apportant des commentaires, des classements etc. », explique M. Verdier. Il ajoute : « Cet outil de gestion interactif sur Internet est une plateforme de communication directe avec nos clients »

 

 

Avantages utilisateurs

Pour Thierry Verdier, FileMaker a tenu ses promesses en termes de rapidité de développement et de qualité de résultats.

« Lorsque j'ai commencé à développer avec FileMaker Pro, je n'imaginais pas qu'il pourrait autant apporter à 1001 Talents ! C'est un outil qui nous a permis de faire des choses que nous n'aurions pas été capable de faire autrement ! », souligne M. Verdier. « Au fur et à mesure des développements, les consultants et moi-même avons découvert les immenses possibilités du logiciel FileMaker Pro au niveau des scripts, des calculs et des fonctions. Le fait d'avoir pu automatiser toutes les communications avec les candidats et les clients nous apporte une efficacité redoutable, car toutes les actions sont systématiquement renseignées et mises à jour sans intervention manuelle », poursuit-il.

FileMaker a ainsi apporté au cabinet un gain très important en termes de productivité et de fiabilité et a permis à l'équipe de 1001 Talents d'absorber facilement une montée en puissance de son activité.

Autre point fort de FileMaker Pro pour Thierry Verdier, l'évolutivité qu'il offre au quotidien : « Nous avons sans cesse de nouvelles idées et chaque nouvelle idée est implémentée. C'est ça qui fait la force de FileMaker ».

Pour Thierry Verdier, FileMaker est « l'outil le plus performant sur son marché ». Il explique : « En termes de volumétrie, il fonctionne aussi facilement avec 200 000 enregistrements que 300 enregistrements ».

« Je suis entièrement satisfait de mon application et je ne pense pas qu'il existe un outil plus performant que le nôtre dans les cabinets de recrutement. Notre entourage en est d'ailleurs toujours très impressionné  », conclut Thierry Verdier.

 

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