Poste de travail du futur, Mobile WorkSpace (bureau mobile), « mon bureau partout, tout le temps », bureau 2.0, de nombreuses locutions pour une seule idée : l’incroyable évolution des usages professionnels en situation de mobilité permise par la technologie.
Ces concepts sont globaux et aux frontières souvent floues, pour la simple raison que la mutation des usages est d’autant plus insaisissable qu’elle est multiforme et touche tous les domaines traditionnels de l’IT. La nouvelle mobilité est ainsi tant professionnelle que personnelle, individuelle que structurelle , exploitant souvent les solutions de virtualisation (le Cloud) et est amenée par des applications mais aussi par des services et des devices comme les tablettes.
Le Mobile WorkSpace - appelons-le ainsi - challenge les DSI autant que les collaborateurs. Les nouvelles performances technologiques bouleversent la culture du monde professionnel et personnel, accueillant un travailleur nomade qui peut désormais travailler en étant « partout chez lui ».
La technologie a toujours été au service de la productivité, et le Mobile WorkSpace est la nouvelle réponse des solutions technologiques au service des besoins d’entreprise. Elle ne propose plus des offres indépendantes, mais une combinaison d’offres et de services dont les frontières s’effacent.
Autant dire que ces combinaisons sont infinies. Et c’est ça le Mobile WorkSpace :
Et c'est même tout cela à la fois et plus encore !
La nouvelle mobilité se résume in fine en une suppression progressive des contraintes spatiales et à une contraction du temps, qui bousculent les habitudes de travail. Ainsi pour s’y adapter, les business models traditionnels et les processus des sociétés ont besoin de se renouveler.
Si le poste de travail du futur était déjà le leitmotiv des TechDays 2012, nul doute que ces problématiques reviendront en force la semaine prochaine lors de la nouvelle édition du salon.
Surfer la vague de la mobilité est sans nul doute un vivier d’opportunités, mais il n’en demeure pas moins que cette révolution des usages devra être canalisée et accompagnée pour éviter tout naufrage.
« In medio stat virtus » disait Aristote, et c’est bien le challenge des années à venir que de trouver le juste milieu pour faire la place belle à la mobilité, sans se laisser déborder par elle, mais en la transformant en valeur.
Yann
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